Formations en Médecines Alternatives et Thérapies Complémentaires • par des professionnels passionnés •

• Les médecines non conventionnelles ne sont pas basées sur des molécules chimiques qui peuvent avoir des effets secondaires importants, elles peuvent aider à mieux les supporter lorsque le traitement allopathique est inévitable.
• Certains “petits bobos” peuvent être soignés en première instance avec la médecine alternative (mais si les symptômes persistent ou s'aggravent, consulter un médecin est fortement recommandé)
• Dans certains hôpitaux, l’hypnose est utilisée pour détendre les patients avant une intervention, ou même pour gérer la douleur.

Dans tous les cas, la médecine alternative ne doit pas se substituer à la médecine traditionnelle lorsque la pathologie est sévère et/ou que votre vie est en jeu.

• La médecine traditionnelle chinoise. Elle repose sur un principe d’équilibre des énergies dans le corps et sur la prévention des maladies. Ses cinq piliers sont l’acupuncture, la diététique et la pharmacopée chinoises, le massage Tui Nua et les exercices énergétiques (Qi Gong et tai-chi).
• La naturopathie. Il s'agit ici de rééquilibrer l’organisme par des moyens naturels afin qu’il trouve de lui-même les clés de la guérison. Cette médecine non conventionnelle peut inclure une approche diététique, le jeûne, la phytothérapie, l’amélioration de l’hygiène de vie, etc.
• Les thérapies manuelles. Réflexologie, shiatsu, massage, chiropraxie, sont des médecines non conventionnelles qui impliquent le toucher, que ce soit au niveau du corps entier ou une zone spécifique (les pieds par exemple).
• L’hypnothérapie, la sophrologie, .Certaines médecines non conventionnelles se situent à la lisière entre le développement personnel et la pratique psycho-corporelle. Elles peuvent donc être une manière de rechercher le bien-être et le soin de manière globale.

Le domaine des médecines alternatives est très vaste, il est difficile de dresser une liste exhaustive de toutes les pratiques et de leurs variantes. De plus, de nombreux thérapeutes en médecine non conventionnelle “cumulent” deux, ou davantage, de spécialités afin de proposer une offre de prise en charge plus complète.

• Vers quel métier suis-je attiré ? Manipuler des corps, poser des aiguilles, être à l’écoute…dans les médecines alternatives, il existe beaucoup d'approches différentes, qui peuvent demander une compétence ou un savoir-être spécifiques. Mieux vaut bien connaître le métier avant de se lancer dans une formation, en passant par exemple par une phase d'observation ou en étant vous-même “patient” chez un thérapeute de médecine non-conventionnelle.
• Quel est mon budget ? Peu de formations en médecines alternatives sont prises en charge par Pôle Emploi ou autre, et les tarifs peuvent s’envoler assez rapidement. Faites vos calculs avant de vous lancer.
• Mon professeur est-il suffisamment qualifié ? La solidité d’une formation est un gage important pour votre réussite, puis pour votre crédibilité. Choisir une formation nationalement reconnue par vos pairs, donnée par un enseignant qui a de l’expérience, est essentiel pour la maîtrise de votre domaine de prédilection en médecine alternative.

Enfin, n’oubliez pas non plus de vous interroger quant à la manière dont vous allez exercer votre activité. En effet, pour pratiquer une médecine alternative, il vous faudra créer votre entreprise, avoir un cabinet, vous constituer une clientèle, etc. Si votre formation ne comprend pas un volume d’heures dédié à cela , pas de panique, vous trouverez auprès des fédérations nationales ou tout simplement sur Internet toutes les infos et conseils relatifs à la création d’activité.